Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol


Quel plaisir de retrouver les personnages si attachants de la trilogie de Katherine Pancol. Ce roman frais, touchant et optimiste a embelli mon été et c'est avec un pincement au cœur que j'ai achevé cette trilogie.

Les amoureux sont tristes quand ils sont seuls
Après la tragédie à laquelle elle a dû faire face (dans La valse lente des tortues), Joséphine est rongée par le doute et la culpabilité. Celle qui a accompli tant de choses se rabaisse à nouveau. Encouragée par son éditeur, ses filles et son amie Shirley, elle relève enfin la tête et s'atèle à l'écriture d'un nouveau roman. 

Dans ce troisième tome, les personnages continuent leur évolution : Hortense poursuit sa quête de célébrité dans le monde de la mode, Zoé entre dans l'adolescence, Alexandre apprend à vivre sans sa mère, Henriette prépare sa vengeance, et j'en passe et des meilleures. C'est un réel plaisir de tous les retrouver, de partager les petits et grands moments de leur vie. Une fois encore, Katherine Pancol prouve que ses personnages ne sont pas seulement des êtres de papier, mais de véritables êtres auxquels le lecteur s'attache comme à de vraies personnes.

Ici, plus que dans les deux tomes précédents, l'amour occupe une place centrale. Joséphine et Philippe, Hortense et Gary, Zoé et Gaétan, Shirley et son mystérieux inconnu... que l'on ait 15, 20 ou 40 ans, être amoureux rend toujours tout chose et donne des papillons dans le ventre. On se tourne autour, on s'aime, on se hait, on se repousse, avant d'enfin tomber dans les bras l'un de l'autre. Avec beaucoup de simplicité, Katherine Pancol décrit parfaitement les comportements que l'amour peut engendrer.

A la fois extraordinaires et pleines de simplicité, les aventures que vivent les personnages du roman sont une belle tranche de vie dans laquelle chacun pourra se reconnaître. En créant des personnages auxquels chaque lecteur peut s'identifier, Katherine Pancol a fait la force de sa trilogie, qu'il est décidément bien difficile de refermer.

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol, Le Livre de Poche, 2011, 939 pages

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1 commentaire :
  1. Un avis qui me chagrine un peu car moi aussi je souhaitais lire cette trilogie et ressentir ton pincement au coeur pas celui que je ressens maintenant, je suis presque sûre que j'aimerais énormément mais je suis obligée d'admettre que je vais remettre à l'an prochain ENCORE.

    Tu en parles très très bien et tu donnes envie de découvrir cette série, en tout cas heureuse que tu aies apprécié ta lecture.

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